• La créativité individuelle
    peut-elle séduire
    l'intelligence du groupe ?

    Carl de Souza


    votre commentaire
  •  

                 Afin d’exprimer une envie ou une satisfaction souhaitée, l’homme inventa le mot désir par lequel on regrettait, à l’origine, l’absence de quelque chose, de quelqu’un ou encore d’une étoile (dont il emprunte une partie étymologique) pour les marins.
    Si l’on ne s’en prêtait qu’à l’étymologie du désir, celui-ci ne signifierait qu’une déception alors que la réalité est bien plus complexe car nous verrons que d’une part, le désir est considéré comme dans la nature de l’homme et le construit et que d’autre part, le désir apparait comme un obstacle à l’obtention du bonheur.
    Apparait alors un choix à faire pour l’homme : doit-il libérer ses désirs (décider de ne plus exercer aucune contrainte d’expression sur eux) ou doit-il au contraire s’en libérer (se délivrer du poids de leur emprise) ? Nous verrons alors qu’il également que l’homme pourra rechercher bien plus : se les apprivoiser.

     

                Tout d’abord, le désir est considéré par certains comme étant propre à la nature de l’homme et permettant également de le construire car il caractérise chaque individu et les aide à s’épanouir, à s’ouvrir sur ce qui l’entoure.
                D’une part, le désir permet à l’homme de s’ouvrir et de s’épanouir dans l’espace et dans le temps. En effet, l’innovation et la création qui se dégagent du désir permettent un état non stationnaire de l’esprit humain, et c’est ainsi que l’Homme continue d’évoluer au cours de l’Histoire. Le désir amenant la curiosité (des cultures, des tendances culinaires, des organisations politiques…) permet à l’homme de ne plus s’intéresser qu’à soi-même. C’est par le désir qu’autrui prend de l’importance et c’est par autrui que le désir prend du sens.
    Théodore Zeldin écrira d’ailleurs que « De tout temps, le désir le plus important a été le désir de rencontres. Rencontres avec l’autre, avec Dieu, entre les sexes ».
    De plus, le désir n’est-il pas une manière pour l’homme de faire naître de l’espoir ? Le fait de désirer un monde meilleur, une sorte d’utopie, a souvent amené l’homme à se créer de nouvelles valeurs, de nouveaux idéaux et à espérer l’atteinte de cet objectif comme le fait remarquer Alphonse de Lamartine « Un seul désir suffit pour peupler tout un monde ».
    C’est donc par le désir et l’espoir que l’homme évolue et continuera d’évoluer et de prospérer dans le temps.
    Le désir est dans la nature de l’homme car il lui permet de vivre et de s’épanouir : Baruch Spinoza écrira dans son œuvre L’Ethique que « Le désir, même celui de parler, est désir de vivre »  tandis que Miguel de Cervantès écrira « Je vis de mon désir de vivre ».
    Le désir ne permet-il qu’à l’Homme, de manière générale, d’évoluer ? de se rendre, d’une certaine manière, durable dans le temps ? Il semblerait que le désir soit en réalité  qu’une question majoritairement d’individu propre.
                D’autre part, parce que l’influence culturelle et les goûts diffèrent, les hommes se caractérisent par ce qu’ils désirent. Comme certains animaux par exemple, tel que l’orang-outan, l’être humain donne à la nourriture un aspect de plaisir (plaisir du goût) pour ce qu’il mange et non plus seulement un aspect vital où boire et manger sont primordiaux à sa survie.
    De plus, chaque individu à la possibilité de discerner, par ses désirs propres, le bien du mal.
    Mais cette faculté de jugement par le désir, cette morale empirique, doit être nuancée car il faut considérer la stabilité du désir qui se distinct du simple plaisir. Baruch Spinoza écrit d’ailleurs « Nous ne désirons aucune chose parce que nous la trouvons bonne mais, au contraire, nous jugeons qu’une chose est bonne parce que nous la désirons ».
    Le désir nous amène-t-il alors à un jugement faussé par l’objectivité ? Si je désire la mort d’une personne, ou bien simplement si je désire la souffrance de cette personne, je jugerais alors que cette idée est bonne. Cependant, l’intervention d’autrui et son influence me permettra de contrôler ce désir voire de le refouler.
    Mais est-il forcément bon que mon désir soit contrôlé par autrui ou bien même influé ? Comment puis-je atteindre le bonheur si je suis constamment contrôlé par autrui ?

     

                            Ensuite, le désir est considéré par certains comme un frein vers l’accès du bonheur. Selon Epicure, les désirs se distinguaient en deux principales catégories : ceux considérés comme naturels et nécessaires – il s’agissait de ce qui touchait principalement à l’amitié, la philosophie, la tranquillité du corps, et la survie – et ceux considérés comme vains et insatiables – il s’agissait de ce qui touchait principalement à la question de richesse, de gloire ou encore d’immortalité.
    Mais les véritables désirs humains n’ont-ils pourtant pas toujours été ceux considérés comme vains ?
                D’une part, on remarque que l’homme ne se satisfait jamais réellement de ce qu’il a car ce qu’il désire change et évolue. Jacques Lacan remarquera que « Le désir de l’homme trouve son sens dans le désir de l’autre ». Autrui n’est-il pourtant que source de bonheur vis-à-vis de ce désir ?
    Lorsqu’un individu, par exemple, se rend au restaurant avec un ami, et qu’il commande un plat (qu’il désire donc) il arrive à être déçu et à désirer celui du voisin une fois les plats servis.
    Alors le désir nous mène à la jalousie et la présence d’autrui créée une déception.
    L’homme doit-il s’exclure de la société pour obtenir un réel désir le conduisant au bonheur ?
    De plus, la présence d’autrui peut amener à la création d’une compétition entre les individus pouvant les rendre presque méprisables et pouvant en certaines occasions leur priver d’épanouissement personnel comme le montre John Stuart Mill :  «Les hommes ne désirent pas être riches, mais être plus riches que les autres ».
    L’homme finira souvent, lorsque la force de son désir est trop grande ou devient toujours plus grande, par se priver de bonheur : « Il y a deux manières d’être malheureux : ou désirer ce que l’on a pas, ou posséder ce que l’on désir » écrira Pierre Louÿs.
                D’autre part, on remarque que certains désirs de l’homme l’amènent à se faire du mal, à s’infliger une douleur (qu’elle soit psychologique ou physique) : désirer plus de gâteau que ce que l’on a et en manger jusqu’à s’en rendre malade, ou pousser son corps à des efforts physiques trop importants jusqu’à se blesser gravement lorsque l’on désire dépasser l’autre dans le domaine du sport de haute compétition.
    De plus, on remarque que les désirs supposés vains pour Epicure sont pourtant ceux les plus communément admis par les individus. Le cas le plus explicite est le désir d’immortalité qui répond à la peur de l’homme de mourir. D’ailleurs personne ne souhaite réellement mourir alors même que tout le monde souhaite atteindre l’âge de la vieillesse. Certains désirs peuvent créer chez l’homme des paradoxes que l’on ne peut défaire, et certaines dépendances.
    Selon Fénelon dans Les aventures de Télémaque écrira que « Les hommes veulent tout avoir, et ils se rendent malheureux par le désir superflu ». L’homme ne peut-il donc jamais être heureux par le fait de désirer ? Rousseau dira d’ailleurs : « Tout est source de mal au-delà du nécessaire physique. La nature ne nous donne que trop de besoins ; et c’est au moins une très haute imprudence de les multiplier sans nécessité, et de mettre ainsi son âme dans une plus grande dépendance. »
    Ne vaut-il donc pas mieux renoncer aux désirs qui nous amènent de la souffrance ?

     

                Ainsi, l’homme se retrouve dans une complexe situation face au désir : il lui procure de la souffrance alors même qu’il peut rechercher le bonheur et pourtant sans lui l’homme ne semble pas pouvoir évoluer.
                Faut-il libérer le désir ou faut-il s’en libérer ? Tout apparait comme une question de choix : chaque individu décidera de s’en défaire ou non, chaque individu saura ce qui est le mieux dans sa quête d’épanouissement et de bonheur. La véritable question que l’on pourrait se poser est : peut-on réellement refouler nos désirs, s’en séparer complètement alors qu’ils sont l’un des piliers de la relation de chaque individu à autrui ?
                De nombreux philosophes se sont penchés sur la question du désir face à la quête du bonheur et souvent leur choix personnel n’avait que deux possibilités : l’acceptation ou le rejet du désir, l’un ou l’autre mais jamais les deux.
                Ne sommes-nous pas alors en train d’oublier que le désir est une chose et que le mérite du bonheur en est une autre ? 
    Nous pouvons penser que l’homme a le devoir de s’apprivoiser le désir avec le temps, de le comprendre (c’est-à-dire faire la différence entre ce qui relève d’un pur désir et non d’un simple plaisir) et de le réguler car comme Spinoza et de nombreux autres hommes de lettres pensent le désir fait partie de la nature même de l’homme. Il ne pourra donc jamais l’éliminer à moins de se détruire lui-même.


    votre commentaire
  •  

                          Afin de subvenir à ses besoins, c’est-à-dire boire, manger, s’abriter ou encore se vêtir, l’homme a appris à transformer la nature. Le travail, s’est ainsi distinguée comme l’activité par laquelle les hommes ont pu satisfaire leur besoin grâce, notamment, à la technique qui en ressortait au fil du temps toujours plus évoluée.
    En effet, le travail a permis à l’homme de développer ses facultés (de conscience, de volonté, d’imagination) et de différer la satisfaction de ses désirs. En outre, l’homme a réussi à s’humaniser par le travail, à lui faire dépasser le stade primitif par le progrès technique qui s’en dégageait.
    Cependant, le travail qui s’est avéré devenir plus qu’une nécessité est souvent sujet à débat : il n’a plus, avec le temps, répondu aux besoins vitaux de l’homme mais s’est convertit en un outil de richesse et de pouvoir qui a amené l’homme à une décadence morale qui s’est traduite particulièrement par le désir de domination et d’exploitation des autres individus. 
    Hegel pense et valorise le travail comme étant ce qui a permis l’humanité de l’homme. Le travail a considérablement transformé l’homme pour qu’il devienne ce que nous connaissons aujourd’hui comme étant l’homme moderne, mais cette transformation n’a-t-elle pas été abusée au point de laisser paraître une déshumanisation ? Nous chercherons donc à comprendre si le travail a pu rendre les hommes solidaires ou rivaux.

     

     

                                   Tout d’abord, il nous serait très facile de penser que le travail a rendu les hommes adversaires des uns et des autres et les a amenés à rivaliser de talents et de ressources.
    Il suffirait en premier lieu de se référer à l’étymologie latine du travail : « tripalium » qui comprend faire souffrir, tourmenter. Cependant la concurrence (créée par le labeur) existant entre les hommes ne se réduit pas à une idée de supplice ou de peine, car ce que l’homme a fait du travail est beaucoup plus complexe.
    Nous verrons que la rivalité entre les hommes rendue possible par le travail s’est traduit par une domination de certaines classes de la société et par l’exploitation déshumanisante.
                D’une part, on pourra constater que le travail a amené et a servi à la domination d’une certaine classe par l’exploitation d’une autre.
    Rousseau fera par exemple remarquer que le progrès technique dans le travail a apporté une décadence morale car l’homme a étendu sa supériorité sur l’espèce humaine même et est ainsi devenue « le maître des uns et le fléau des autres ».
    En effet, la société ayant toujours illustré dans son évolution temporelle l’existence de plusieurs classes plus ou moins privilégiées a fait naître la notion de rivalité dans le travail.
    Au moyen-âge, les seigneurs profitaient du travail de leurs serfs : les paysans travaillaient et croulaient sous les taxes et impôts tandis que la noblesse récoltait la plus grande partie du fruit du travail des autres et n’avait de compte à rendre à personne.
    Au XIXème siècle, les classes les moins aisées étaient obligées d’offrir leur talent et leur technique aux classes aisées qui, elles, dominaient la société en s’enrichissant sur le travail des classes inférieures.
    Ainsi, l’existence la rivalité entre les classes a toujours été une rivalité du travail.
    De plus, nous pourrons remarquer qu’à partir de la fin du XIXème, lorsque les sociétés occidentales ont connu la première grande industrialisation et que de nouvelles techniques de production sont venus au jour, le travail à la chaine et la subdivision de celui-ci a parfois causer la rivalité entre individus d’une même classe : dans certains cas, ils étaient payés en fonction de qui produirait le plus : il y avait rivalité due au salaire. Durkheim dira d’ailleurs : « Ce qui fait la valeur morale de la division du travail […] c’est que, par elle, l’individu reprend conscience de son état de dépendance vis- à – vis de la société » ce qui montre bien à quel point les hommes souffrent d’une aliénation du travail. Pour Engels, « la subdivision du travail est l’assassinat du peuple ».
     
    L’homme perd sa liberté, son humanité, sa solidarité.
                D’autre part, on remarquera que l’homme a valorisé pendant longtemps le travail à moindre coût, ce qui a accentué l’effet de rupture entre les hommes et l’aspect déplaisant de devoir travailler.
    La division du travail en est un exemple au XIXème et début du XXème siècle (avec des ouvriers à moindre coût), l’esclavage et la traite négrière une autre plus ancienne qui elle avait la particularité d’être une main d’œuvre quasiment gratuite pour les hommes exploitant (ce qui a participer à créer une rivalité traduite par le racisme), ou encore l’exemple plus récent de la robotisation qui a pu créer des conflits entre patrons et employés(: les caisses automatiques remplaçants les emplois dans les supermarchés).
    Cette rivalité produite par l’aspect de rentabilité du travail à amener à la déshumanisation de tous les hommes que ce soit ceux qui dirigent et organise le travail qui utilise l’exploitation comme principal outil que ceux qui appliquent le travail et qui sont dépossédés d’eux-mêmes, de leurs capacités spécifiques qui ne peuvent plus s’exprimer et du travail qu’il produise qui finit par devenir celui d’un autre.
    Ainsi, comme le fit remarquer Marx « Le travail ne produit pas seulement des marchandises, il se produit lui-même et produit l’ouvrier comme une marchandise ».
    Le travail a donc cet effet déshumanisant et crée cet effet concurrentiel entre tous les individus quels qu’ils soient qui fait que le travail rend les hommes rivaux.
     

                                        Par la suite, il est facile (malgré tout l’aspect négatif du travail) de se rendre compte que le travail est ce qui a permis à l’homme de se développer, à s’établir dans le monde en si différenciant des autres animaux.
    Charles Jean Baptiste Bonnin écrivit d’ailleurs que « Le travail est le contrepoison du vice, la cause du bien-être et l’instrument du bonheur ».
    Nous verrons que le travail est à l’origine de l’interaction entre les membres de l’espèce humaine, et amène bien souvent à l’homme à se créer une identité à travers les luttes collectives pour parvenir à une amélioration de sa condition.
                D’une part, on remarquera que le travail permet à l’homme de se développer car il est à l’origine de la communication que ce soit pour raison de nécessité ou de plaisir.
    En effet, par nécessité l’homme par le travail arrivera à devoir interagir avec d’autres individus de son espèce : c’est ce qui a donné lieu au troc qui est aussi à l’origine de l’économie, ou ce qui a donné lieu à l’idée d’entreprise. Pour avoir des exemples concrets un fermier ira échanger ses fruits et légumes contre du pain à un boulanger, ou alors un paysan cherchera à embaucher quelqu’un pour améliorer sa production. Le travail crée l’entraide, et l’entraide le travail.
    D’ailleurs, l’homme ne peut obtenir un savoir-faire seulement par expérience car la technique a besoin de se transmettre au fil des générations et entre les individus pour permettre à tous de s’élever.
    De plus, l’homme a un désir d’appartenance et si au travail il n’a pas la satisfaction de ce besoin il se rendra exclu et deviendra isolé.
    Dans une entreprise, un salarié cherchera quasiment toujours à faire partie d’un groupe ou d’une équipe afin de pouvoir s’épanouir et se dépasser au travail.
    Le travail amène à la communication qui amène au travail.
    Le sentiment d’appartenance à un groupe au travail suffit-il cependant à seulement satisfaire un plaisir ?
                D’autre part, le sentiment d’appartenance à groupe au travail a pu permettre à l’homme de se développer non seulement pour répondre à ses besoins (se nourrir, se vêtir…) mais aussi pour lutter pour ses droits et contre les injustices qui lui faisaient face.
    En effet, au XIXème siècle par exemple émerge une identité ouvrière, portée par Engels ou encore Marx, qui a su faire valoir ses droits et qui s’est battue contre la domination d’une classe aisée qui participait au fait que le travail rendait les hommes rivaux.
    Depuis, l’invention des salariats dans la majorité des métiers existants a su rendre les hommes solidaires.

                             Enfin, on pourrait se demander que si ce qui nous rendait rivaux au travail ne serait pas simplement notre vision de la notion de travail, notre mauvaise organisation économique du travail.
    En effet, on pourra remarquer que dès l’école l’approche du travail se fait par la compétition. Par exemple, on aura tendance à valoriser les plus compétents et à dénigrer les autres ; on remarque également que le système de notation vient souvent à mettre en compétition les élèves (qu’ils soient en bas-âge ou au niveau des études supérieures). Notre vision du travail amène bien trop facilement à une rivalité et nous fait oublier une valeur fondamentale : le respect de la personne.
    Parce que la « vie fleurit par le travail » selon Rimbaud, ne nous serait-il pas possible de trouver une nouvelle harmonie entre l’homme et la nature ?
    Ainsi, notre vision du travail changerait et la majorité des travailleurs ne seraient plus solidaires par besoin mais aussi par simple plaisir, par simple normalité. Comme Louis Scutenaire le faisait remarquer « La vie sera bonne quand le travail sera pour tout le monde un luxe », ainsi nous travaillerions pour le plaisir de travailler et donc de s’humaniser. L’homme pourrait enfin s’épanouir complètement et gagner en liberté selon Marx « Le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse le travail dicté par la nécessité ».

    Ainsi, on pourra dire que le travail a cette complexité de rendre les hommes à la fois rivaux et solidaires, mais cela ne vient pas directement de cette notion de travail mais de notre manière de le percevoir et de l’approprier.
    L’homme ayant obtenu une forme de pouvoir dans le travail a longtemps cherché à dominer et exploiter les autres individus ce qui a produit une rivalité entre travailleurs, entre classes… En outre, l’homme a par le travail atteint, à beaucoup de moments, une forme de décadence morale.
    Cependant, nous avons vu qu’il ne fallait pas oublier que c’est par le travail que l’homme a su évoluer, se développer, s’humaniser. En effet, le travail est à l’origine de la communication et de l’interaction entre individus, et c’est cette communication qui a poussé beaucoup d’hommes à devenir solidaires (par nécessité ou par plaisir).
    Il apparait aujourd’hui nécessaire de changer notre organisation du travail pour la rendre plus juste et plus humaine, amener à la solidarité sans que les individus en ait personnellement besoin, pour trouver une nouvelle harmonie car sans le travail, l’homme continuera-t-il d’évoluer ?
    L’homme est-il condamné à se déshumaniser s’il fait abstraction du travail?


    votre commentaire
  •  

    L'amour qui naît subitement 
    est le plus long à guérir.

    La Bruyère


    votre commentaire
  •  

    "L'amour contient tout juste
    ce qu'il faut pour l'éteindre."

    Shakespeare


    votre commentaire